C'est avec la société TM Boucherie, que j'ai effectué ma troisième année de second cycle DEESMA au sein de l'école SUPEXUP à Montpellier. L'intérêt que je porte au Marketing, et en particulier au Marketing des études, m'a permis d'étudier un marché qui m'était totalement inconnu jusqu'à lors grâce à ma collaboration au sein de TM Boucherie.
L'entreprise est une boucherie-charcuterie, située à Saint Jean de Védas, village de l'agglomération Montpelliéraine. Mon projet de stage était d'étudier la possibilité de lancer une nouvelle activité en extension à l'activité traditionnelle : l'activité traiteur.
Ce projet est au départ une idée de l'entrepreneur. Suite à des recherches mercatiques, j'ai établi un diagnostic de l'entreprise qui a déterminé si le sujet posé n'était pas en contradiction avec la situation actuelle de l'unité commerciale.
La problématique qui s'est donc imposée d'elle-même était de savoir si l'extension à l'activité traiteur était une possibilité réelle ou non.
Pour y répondre, j'ai réalisé une étude de marché.
La méthodologie retenue a été celle-ci : recherches documentaires afin d'établir une synthèse du nouveau marché, études qualitatives et quantitatives afin de déceler les attentes des clients, du salarié et de l'entrepreneur et déterminer si la demande pour l'activité traiteur était réelle. De plus, un calcul des coûts prévisionnels a été réalisé afin de savoir si, en terme financier, le lancement était plausible. Enfin, j'ai également établi un plan média qui permettrait de faire connaître l'extension d'activité de l'unité commerciale à sa cible (...)
[...] • SALARIE ET EMPLOYEUR Du point de vue de chacun, la demande quant à ce type de produits est bien réelle. Les clients demanderaient souvent des conseils de préparation et certains seraient même étonnés de ne pas voir de plats cuisinés à la vente. Les deux s'accordent à dire que ce serait un service supplémentaire pour leur clientèle. Le chef d'entreprise lui, espère que cette activité devienne la principale à long terme. Aussi bien le salarié que l'employeur encore une fois, pensent à un positionnement haut de gamme avec des plats traditionnels, « à l'ancienne ». [...]
[...] Cependant, l'entrepreneur doit penser également aux points négatifs. En effet, bien que cette activité permettre de fidéliser encore plus la clientèle et en attirant surement une nouvelle, il ne faut pas oublier que l'augmentation du chiffre d'affaires de la nouvelle activité entraînera probablement une baisse de celui de l'activité actuelle, voire une baisse du panier moyen actuel. Néanmoins, cela ne sera pas gênant si, comme le souhaite l'entrepreneur, l'activité traiteur devient effectivement l'activité principale. Difficultés rencontrées La première difficulté résidait dans l'absence de stratégie marketing de l'entreprise. [...]
[...] BUDGET Voici maintenant les réponses concernant le budget pour les plats préparés. (Budget habituel pour les consommateurs et budget futur pour les non consommateurs actuels qui ont répondu être intéressés par ces produits). Il y a trois choix différents. La première fourchette est en-dessous du panier moyen, la seconde est dans la tranche du panier moyen et la troisième est au-dessus de celui-ci. Choix Nombre Pourcentage FREQUENCE D'ACHAT Voici maintenant les résultats sur la fréquence des achats des clients au magasin. [...]
[...] I.2 LA POSITION DU DEMANDEUR ET SA DEMANDE Lors de mon entretien avec M. Michel, gérant de la société, celui-ci avait déjà une idée précise de ce qu'il attendait de moi. En effet, il avait en tête de lancer une nouvelle activité : traiteur. La décision n'était pas encore définitive, mais il a souhaité que je lui fasse une étude de marché pour l'extension à cette activité afin d'avoir des données précises et ne pas se lancer dans ce chemin sur une simple envie. [...]
[...] Pour l'amortissement du matériel, le calcul se fait sur le montant hors taxes soit : €. Ainsi, le calcul de l'amortissement se fera sur ce montant, sur une durée de 8 ans et à un taux de (100/8- réglementations fiscales*) Calcul : 20035* 0.125 = Ainsi, il faudra rembourser € par an soit 208.70 € par mois. A ce montant on ajoute donc le montant du loyer et de l'électricité ( €) ainsi que le montant du budget communication ( €). [...]
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